Une récupération plus précoce après chirurgie à la Clinique Ambroise Paré Toulouse
Fruit de l’optimisation des techniques de soins et de la prise en charge du patient, de plus en plus d’établissements se mettent en ordre de marche pour proposer une prise en charge efficiente. C’est le cas de la Clinique Ambroise Paré avec la RAAC (Réhabilitation Améliorée Après Chirurgie). Ensemble de mesures qui visent à optimiser la prise en charge du patient à toutes les étapes de sa démarche chirurgicale, la RAAC pour Réhabilitation Améliorée Après Chirurgie est une nouvelle étape pour la Clinique Ambroise Paré de Toulouse.
Cette étape repose sur le travail d’équipe pluridisciplinaire qui permet de mieux informer et préparer le patient, mais aussi de diminuer son stress en l’accompagnant vers une récupération optimale, le plus souvent à présent en ambulatoire, c’est-à-dire en hospitalisation de jour. Sur une demi-journée, le patient est en mesure de réaliser tous les rendez-vous nécessaires au bilan préopératoire (rendez-vous d’imagerie, rendez-vous médicaux et paramédicaux) avec un parcours fluide, mais aussi de le préparer à son hospitalisation et sa rééducation future. En complément, une ligne téléphonique et une adresse mail dédiés à l’HDJ (Hospitalisation De Jour) pour recevoir et traiter les appels des patients a été mise en place. Tout est fait pour un retour à l’autonomie.
« Cette démarche nous est permise aujourd’hui, grâce aux évolutions de la médecine et des techniques, et nous permet de montrer aux patients
qu’ils ne sont pas malades et qu’ils pourront retrouver le plus rapidement possible leur autonomie » rassure l’un des chirurgiens orthopédistes.
Dans son domaine de la chirurgie orthopédique et notamment celle du genou, les techniques chirurgicales ont progressé (cf. encadré), les techniques d’anesthésie également mais la prise en charge pré et post-opératoire ont également été optimisées.
Tout le bilan préopératoire conditionne donc la récupération postopératoire et le retour à l’autonomie sans que l’on envisage systématiquement
le passage par un centre de rééducation.
©La Dépêche du Midi - journaliste Pierre Vincent