La Clinique dans le Palmarès du Nouvel Observateur
La Clinique dans le Palmarès du Nouvel Observateur
28/11/2011
Palmarès 2011 du Nouvel Observateur
Le palmarès national des hôpitaux et cliniques de l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur est paru ce jeudi 24 Novembre.
Il classifie les meilleures structures publiques et privées, région par région, suivant les critères établis par Le Nouvel Observateur*. Plusieurs cliniques du Groupe se hissent en haut des palmarès. En effet, les classements détaillés par spécialité mettent en évidence leurs excellentes places au niveau national et régional. Zoom sur les classements détaillés.
Ce classement se base sur les données PMSI (Programme de Médicalisation des systèmes d'Information) de l'année 2010 en provenance de 1500 établissements.
* Méthodologie du palmarès par: Mohamed Qafli et Philippe Presles
Ce palmarès des hôpitaux et cliniques du "Nouvel Observateur" est le premier classement basé sur les données d'hospitalisation issues du Programme de Médicalisation des Systèmes d'Information (PMSI) de l'année 2010. Il est aussi le seul à prendre en compte le public et le privé, soit 23 millions de dossiers provenant de plus de 1.500 établissements. Il se fonde sur la nouvelle classification des groupes homogènes de séjours (GHS), qui associent des critères médicaux et économiques. Dans le choix des indicateurs, nous avons privilégié, pour chaque pathologie, ceux qui sont le plus synonymes d'innovation médicale, comme la coelioscopie ou la chirurgie ambulatoire. La note globale résulte de la combinaison des éléments suivants. €“ Volume d'activité : nombre de séjours et valeur des soins selon une tarification unique par GHS. Le volume d'activité est plafonné, la quantité ne constituant pas, au-delà d'un certain seuil, un bonus pour la qualité. €“ Durée moyenne de séjour en hospitalisation complète (DMS HC) : pour un même groupe de malades, les établissements les plus organisés enregistrent les séjours les plus courts. €“ Part de l'ambulatoire (malades hospitalisés sans nuitée dans l'établissement) : mode d'hospitalisation particulièrement adapté à certaines prises en charge. Pour quelques pathologies sans ambulatoire, on a tenu compte des hospitalisations de un à deux jours. €“ Part de la chirurgie : part relative de la chirurgie dans la prise en charge globale au sein de la spécialité. €“ Part de la coelioscopie : fréquence des interventions chirurgicales réalisées par de petites incisions à l'aide d'instruments miniatures. €“ Diversité : éventail de cas traités au sein d'une spécialité. €“ Complexité (ou gravité) : présence de polypathologies, de complications ou de patients d'un à¢ge avancé. €“ Lourdeur : niveau de ressources consommées (en ce qui concerne l'équipement, le personnel €¦). €“ Notoriété et attractivité : notions se fondant sur la distance séparant le malade de l'établissement. L'attractivité est appréciée par la part de malades venant d'une zone géographique située au-delà de 50 kilomètres. La notoriété rend compte de l'éloignement progressif des malades : plus ils viennent de loin, plus elle est importante. Malgré la rigueur de notre travail et les conseils des experts auxquels nous faisons appel, nous nous devons de prévenir le lecteur que ce classement n'est qu'indicatif. La position des établissements doit être relativisée, car plusieurs éléments échappent encore à l'analyse statistique : €“ la qualité du codage des données médicales, variable d'un établissement à un autre ; €“ l'importance des consultations externes par rapport à l'ambulatoire ; €“ la méconnaissance du nombre de chirurgiens par spécialité ; €“ l'implication des équipes dans la recherche médicale.